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Bienvenue chez les DFI
22 janvier 2006

Ailleurs sous forme d'une lettre ....

Cher Omar,

Je t’écris cette lettre depuis la planète verte, c’est une terre hospitalière à la végétation luxuriante. La navette nous a déposés en fin de matinée dans une clairière éclairée par un doux soleil. Nous fûmes accueillis par une troupe de petits hommes vêtus de toge faite à partir de feuilles de bananier. Leur chef paraissait vieux mais, chose surprenante, il effectuait des bonds prodigieux pour nous accueillir. Leur langage était basé sur des claquements de langue, chaque claquement signifiait une action. La troupe des petits hommes nous guida à travers la jungle jusqu’à un village qui se trouvait proche d’une cascade majestueuse. Le chef nous fit visiter son village, il paraissait ravi de nous montrer ses constructions en bambous. Ces habitations étaient rudimentaires mais elles étaient décorées avec le plus grand soin. A la tombée de la nuit, nous mangeâmes une purée de papaye ainsi que des fruits étranges qui avaient le goût du poulet. Durant notre sommeil, nous entendîmes des hurlements lugubres qui provenaient de la jungle. Nous passâmes le reste de la nuit recroquevillés sur nous-même car nous étions terrifiés. A l’aube, nous fûmes réveillés par le concert matinal des oiseaux de la jungle. Je voulus demander au chef si, comme moi, il avait entendu les hurlements. Je ne maîtrisais pas leur langage alors je décidais d’imiter les hurlements nocturnes. Le chef devint livide et se mit à bondir d’un point à un autre. Il prît un bâton et dessina sur le sol un petit bonhomme qui représentait certainement un membre de son village. Il dessina plus loin une créature qui était beaucoup plus grande que le précédent dessin. Les nuits suivantes, les hurlements recommencèrent. C’étaient des hurlements de plainte, de douleur. Je décidais de me rendre vers ces plaintes car ma curiosité l’emporta sur la peur. Je me rendis au plus profond de la jungle. Sous un arbre, je découvris une créature hideuse certes mais avec des yeux attendrissants et pleins de larmes. Cette bête avait sous sa patte une épine assez grande de plantée qui la blessait cruellement. Pauvre bête ! Je m’approchais prudemment et tirais sur l’épine de toutes mes forces jusqu’à ce qu’elle se retire. La bête poussa un soupir de soulagement et se jeta sur moi pour me manifester sa reconnaissance. Je la pris par la main et la conduisis jusqu’au village. Les petits hommes furent pris de panique et se mirent à courir dans tous les sens. Seul le chef, voyant la bête en ma compagnie, décida de s’approcher. Les petits hommes firent de même et finalement, ils virent que c’était une bête inoffensive et amicale. Le village adopta la créature qui devint ainsi la source de toutes les attentions.

Mon cher Omar, j’espère que tu pourras très vite me rejoindre et ainsi faire la connaissance de ce village si particulier.


                                                                      Amitiés

                                                             Fred

Chère Sandra,


        Tu ne devineras jamais ce qui m’est arrivée. J’ai découvert un monde où il n’y a pas que le soleil qui existe. La nuit, ils ne connaissent pas ici. Les arbres sont multicolores, le sol est partiellement parsemé de petites pierres précieuses qui se reflètent avec le soleil. Les autres végétaux sont faits de formes multiples : en carré, en losange, en rectangle…

Les personnes qui habitent ici sont toutes vêtues d’une guenille verte qui permet de les camoufler en période de chasse. Ils chassent de gros animaux inoffensifs qui se nourrissent de végétaux. Cela leur permet de manger complètement car quand ils ne chassent pas, ils se nourrissent des fruits multicolores poussant sur les arbres.

Chaque jour, ils ont pour coutume de remercier le soleil pour ses bienfaits. Ses ayons qui amènent le bonheur mais aussi la pousse des fruits pour se nourrir.

Ils m’ont accueillie avec une gentillesse et une bonté que je ne suis pas prête d’oublier. D’ailleurs, je me suis liée d’amitié avec l’un des leurs. Je lui ai donné un de mes bracelets en gage de reconnaissance.

Ces personnes resteront gravées pour toujours dans mon cœur ! Voilà ! J’espère que je suis arrivée à te faire passer mon bonheur.

    Elodie Bastier

Salut !

Il faut que je te raconte quelque chose qui vient de m’arriver. Tu ne vas pas me croire ! J’ai découvert un autre monde, différent du notre. Ici, il y a des prairies de partout, un beau soleil, des maisonnettes faites de bois et de pierres. Les villageois se connaissent tous. A midi, ils mangent tous ensemble sur une immense table. Les enfants jouent dans l’herbe.

Tous les dimanches, après la messe, ils font un grand repas avec de la musique, tout le monde danse.

Le troisième jour de ma venue ici, il y a eu un mariage. La fête a duré au moins deux jours. On a aussi entendu une femme crier, elle était en train d’accoucher.

La vie ici est très différente de celle que nous connaissons. Chez nous, on ne parle qu’avec les personnes que l’on apprécie. Ici, tout le monde participe tout comme une grande famille. Tout le monde répond présent quant une personne a besoin d’aide.

Je crois que je vais rester vivre ici. Si tu veux me rejoindre, tu es la bienvenue !

A bientôt


            Elodie Brefort

Cher toi,

J’ai conçu une machine qui permet de voyager à cent fois la vitesse de la lumière. Cela m’a permis de partir à une très grande distance de la terre. Au terme de mon voyage, je suis arrivé sur une planète abritant une vie animale et végétale. Les paysages se composent d’immenses forêts dont la cime des arbres reste la plupart du temps dans la brume.

Des êtres ressemblant à l’homme vivent sur ce bout de terre perdu au fond de l’univers. Ils ont des coutumes étranges : elles consistent à vénérer les montagnes  qui les entourent. Il doit être possible de cohabiter avec ce peuple. Tu recevras d’autres nouvelles de ma part lorsque j’en aurai appris plus. Ne parle à personne de ce que je viens de te raconte, cela risquerait de mettre en péril ce nouveau monde.

    Sébastien


Salut Asma,

Je t’écris ces quelques mots pour avoir des nouvelles de toi et de ta famille.
        Je t’écris aussi pour te raconter un monde que je viens de découvrir. Il est magnifiquement beau, les gens sont différents de nous. Ils sont toujours souriants car le soleil est présent. En ce qui concerne le paysage, tout est d’une verdure rare. Les maisons sont toutes grandes et spacieuses, faites de la même manière, que les personnes soient riches ou pauvres. Les habitants se connaissent tous et laissent la porte ouverte. Les religieux sont respectés par tous. La coutume est la même pour tous : cela est fantastique.
Voilà comme quoi ce monde est magnifique car la paix rêgne tous les jours.

A bientôt ma très chère amie Asma

Hanane



 

Bonjour,

Comment vas-tu ? J’espère que tu te portes bien et que tu passes de bonnes vacances.
Moi, tout va bien et je passe de très bonnes vacances. Je suis partie en Egypte pour deux semaines et tout se passe pour le mieux. Hier, je suis allée visiter des pyramides avec des guides. J’ai vu comment elles étaient montées et leurs décorations. J’ai aussi vu les constructeurs et ai beaucoup parlé avec eux. Je trouve qu’ils font un travail de rêve.

Le paysage est sublime. De mon hôtel, je peux voir les couchers de soleil mais aussi les plus hautes pyramides d’Egypte. Le soir, tu peux aller te promener sur les grandes places avec des amis et admirer les soirées égyptiennes. Plein de jolies filles dansent sur de la musique de type « ariginé » et c’est super sympa.
Ce que j’aime le plus, c’est leurs coutumes. Leur nourriture est très bonne et les soirées sont magnifiques.
Les habitants sont très chaleureux et souriants. Je te souhaite vivement de venir en Egypte dès que tu le pourras car c’est totalement un autre monde.

Tendresse

Ton amie Samira

            Chère Wafa,

            Salut ! Comment vas-tu ? Tu ne devineras jamais où je suis. Je suis dans mon pays natal, un endroit magnifique : le Maroc et plus précisément Marrakech.

Je suis allée admirer les beaux paysages et notamment les montagnes. Je suis actuellement sur la plus haute : Tourika. C’est un endroit très touristique. On peut s’arrêter sur la place réputée de « Jamoa el Fna » pour déjeuner. On y rencontre des danseurs, des magiciens.

Les habitants sont très sympathiques et très chaleureux. J’ai assisté à plusieurs de leurs coutumes comme celle de la circoncision. J’ai pu aussi prendre part aux fêtes religieuses comme l’ « Aïd ». On égorge le mouton à cette occasion. J’ai aussi été invitée à un repas traditionnel avec couscous et gâteaux orientaux.
Mes vacances prennent bientôt fin. Je te souhaite vivement de venir visiter ce beau pays où tu auras plein de belles choses à découvrir.

            Je t’embrasse

        Sana

Salut Fred,

Tu ne me croiras jamais ! Hier, je jouais avec Jallal et Sami à cache-cache. Je suis parti me cacher dans une armoire. Une fois dedans, j’ai remarque que celle-ci n’était pas comme les autres. Elle était grande alors j’ai voulu aller le plus au fond possible. Mais, quand j’ai cru avoir touché le fond, j’ai senti comme de la neige… j’ai glissé et quand je me suis enfin relevé, j’ai aperçu un autre monde. Cet endroit était recouvert de neige alors que de l’autre côté de l’armoire le soleil brillait.

J’ai alors décidé de partir à la découverte de ce nouveau monde. Je me suis dirigé vers une forêt. J’ai croisé un homme étrange, cela m’a fait sursauter et crier, tout comme lui. Nous avons eu aussi peur l’un que l’autre. On s’est rapproché l’un de l’autre. Il m’a posé des questions : « qui es-tu, d’où viens-tu et comme t’appelles-tu ? »… je lui répondis donc : « Je suis un être humain, je viens de la planète Terre et je m’appelle Malik ». Il me dit alors qu’il ne connaissait pas cette race. Profitant de son silence, je lui posais les mêmes questions sur son origine. J’appris ainsi qu’il était un Lilliputien venant de la race des hobits.
Il m’a ensuite invité à venir manger chez lui, une toute petite maison. Il me dit alors que j’étais très gentil. J’étais son premier ami depuis 400 ans et, à ce titre, je pouvais rester chez lui autant que je le voudrai.
Mais, tout à coup, je me suis souvenu de Jallal et Sami qui devaient être en train de me chercher partout. Il me fallait rentrer chez moi. Je dis donc au Lilliputien que je devais partir, que ma vraie vie se trouvait de l’autre côté avec mes amis.

Mais, cela était impossible. L’armoire que j’avais franchi se trouvait de l’autre côté de la forêt. Les arbres la gardaient pendant la nuit. J’ai donc insisté et nous sommes partis. On a faillit y laisser notre vie mais nous arrivâmes bientôt au pied de l’armoire. J’avais de la peine de laisser le Lilliputien mais il le fallait. Une fois le fond de l’armoire franchi, je couru à la rencontre de Jallal et de Sami. A l’annonce de ma découverte d’un nouveau monde, ils ne m’ont pas cru une seconde. Pourquoi ne m’avaient-ils pas cherché ? Cinq heures d’absence, c’est long ! Ils m’ont alors dit que je m’étais juste absenté 30 secondes, que la partie de cache-cache continuait.
J’ai compris que pendant que j’étais de « l’autre côté », le temps s’était arrêté.


Ici, tout le monde me prend pour un fou. J’espère que toi, tu me croiras.

Malik

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